Rien à ajouter. Ton (votre) approche est la bonne. Je l’ai vu en application, puisque c’est le contenu du programme de l'école québécoise. Sauf que certains de ces points ne sont que dans une année (en l’occurence 5e année du PEI pour le « projet personnel »). Ces propositions gagneraient à être étendues sur plusieurs années et tous les programmes d’ailleurs. J’ai vu les résultat sur la motivation, la confiance en soi, le sentiment d’appartenance (à l’école, la société). La France (parents, prof, académie) sera-t-elle prête à entendre qu’en échange de cela il faudra peut-être moins de maths ? Moins de sciences ? Moins de français ? Bref, moins de connaissances pour plus de compétences ? Je crains que non dans notre pays élitiste. #softskills vs #hardskills , d’ailleurs, je t’invite a faire un petit exercice sympa. Tu cherches les mots « plaisir », « jouer », « motiver », « explorer » dans les intitulé des ateliers de EDUCATECH (Paris) et dans ceux de l’AQUOPS (Québec) ou ISTE(USA).
Rien à ajouter. Ton (votre) approche est la bonne. Je l’ai vu en application, puisque c’est le contenu du programme de l'école québécoise. Sauf que certains de ces points ne sont que dans une année (en l’occurence 5e année du PEI pour le « projet personnel »). Ces propositions gagneraient à être étendues sur plusieurs années et tous les programmes d’ailleurs. J’ai vu les résultat sur la motivation, la confiance en soi, le sentiment d’appartenance (à l’école, la société). La France (parents, prof, académie) sera-t-elle prête à entendre qu’en échange de cela il faudra peut-être moins de maths ? Moins de sciences ? Moins de français ? Bref, moins de connaissances pour plus de compétences ? Je crains que non dans notre pays élitiste. #softskills vs #hardskills , d’ailleurs, je t’invite a faire un petit exercice sympa. Tu cherches les mots « plaisir », « jouer », « motiver », « explorer » dans les intitulé des ateliers de EDUCATECH (Paris) et dans ceux de l’AQUOPS (Québec) ou ISTE(USA).